Un site ?

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#DOSTITRE
Mais pourquoi ?

L'obligation dans laquelle toute profession se trouve d'exister sur internet, fait que je satisfais à la participation de la création d'un site me concernant, que seul je suis totalement incapable de créer ou de modifier.
Les dangers que présentent l'utilisation d'un outil difficilement maîtrisable m'est déjà apparu à titre professionnel pour des jeunes-femmes qui s'étaient amusées à se prendre en photos. Ces photos ont été utilisées par des personnes indélicates pour les faire apparaître comme des filles faciles, ce qui les a inscrit immédiatement sous une rubrique sexuelle dès l'âge de 15 ans...
Les suites de ces affaires ont été pénales et définitivement décrédibilisantes pour ces jeunes-femmes qui avaient pris ces photos dans une relation amoureuse.
On objectera que le droit à l'oubli a été voté mais objectivement à ce jour, personne n'est en mesure de dire que ce droit à l'oubli est respecté, puisque l'utilisation de ces images n'est pas sanctionnée.
Ces quelques remarques basiques expliquent la lenteur de ma réaction pour créer un site dont je sais que tout ce qui y figurera sera éternel.
Dans cette mesure et avec toutes les réserves exprimées dans ces quelques phrases, l'intégralité des photos figurant sur mon site ont été prises par des journalistes professionnels lors de réunions - congrès ou festivals auxquels j'ai participé, que ce soit dans mon cabinet ou en smoking lors du festival de Cannes.
De même ma présence avec le grand cadi de Mayotte, à la maison de Mayotte à Paris, a été faite lors de la visite du grand cadi de Mayotte, après que celui-ci ait été reçu par le ministre de l'intérieur, Bernard Cazeneuve, postérieurement aux événements de Charlie.

Et la passion que je porte à la profession que j'avais choisi quand la jeunesse existait encore, est toujours la même puisque tous les événements auxquels je suis convié, j'y réponds encore aujourd'hui. Même si je dois utiliser un accessoire qui figure sur quelques photographies.
J'utilisais déjà l'accessoire en question, alors que j'étais allé faire un stage au cours Florent, stage dont j'avais envie depuis que j'étais enfant.
Ce qui est le plus intéressant, c'est de voir à quel point la passion peut permettre d'avoir accès à des rêves d'enfant que leur réalisation dans des conditions aussi délicates étonnent les témoins.
Toutes ces remarques ne sont en fait que ce que je suis : quand on aime et que l'on veut, on peut tout. Ma déséspérance relative à l'égard de ma profession, ainsi qu'à l'égard de la vie politique est de sentir poindre l'abandonisme absolu de la volonté individuelle.
Je suis heureux que grâce à la créatrice de mon site figure des images de ce que j'ai vécu professionnellement aux côtés de Jean-Louis Pelletier, seul en défendant un gendarme braqueur de banque aux assises de l'Aveyron, et surtout les souvenirs que je conserve par devers moi, d'avoir eu la chance de connaître et de partager des heures d'audience criminelle avec mes 2 pères spirituels : Alain Furbury et Philippe Lamouroux.
2 êtres d'exception qui étaient capable de mouiller leur chemise pour défendre leur client sans raisonner étroitement en pensant financier ou qu'en-dira-t-on.
Les acquis que j'ai reçus de ces 2 hommes, dont je n'ai jamais été le collaborateur - alors que d'aucuns me disent encore penser que je l'avais été, 35 ans plus tard - signifie clairement que les hommes de convictions sont plus forts que les hommes de pouvoir.